lundi | 10:00 - 21:00 |
mardi | 10:00 - 21:00 |
mercredi | 10:00 - 21:00 |
jeudi | 10:00 - 21:00 |
vendredi | 10:00 - 21:00 |
samedi | 10:00 - 21:00 |
dimanche | 10:00 - 21:00 |
Avis pour Cabanas Pupuseria
Les avis mentionnent souvent
pupusa(42) authentic(6) prix(6) cash(6) recommend(6) to go(5) arepa(5) queso(4) llevar(4)Bonne nourriture & personnel accueillant & serviable.Voir plus
Délicieux petit restaurant sans prétention avec très bonne nourriture à bon prix! Quiero volver 🙃☀?❤?Voir plus
Belle ambiance familiale typique cuisine Salvadorienne à ne pas manquer les Pupusas !Voir plus
Trop trop bon! J'ai déjà hâte de revenir manger vos pupusas ❤?Voir plus
Best pupusas in the city, best seafood. best prices, best decorations. This is my to go place always?Voir plus
Agréable pour une petite bouchée salvadorienne en soirée
Jeune serveuse agréable dont le service & les conseils quant au menu furent appréciés.
Le vin au verre ... est déconseillé vaut mieux opté pour une bière.
Petit resto sud américain de quartier qui mérite sa réputation positive.
On y retournera.Voir plus
Exelente servicio, son muy amables y la cómoda es estupenda!!!!Voir plus
Nourriture délicieuse & chaleureuse, un vrai voyage pour les papilles! Le personnel est hyper sympathique & le service est rapide. Les portions sont généreuses.Voir plus
food amazing, jamaica 10/10, something for everyone :)Voir plus
Wow!! I came here for a work event & the food was incredible ! The portions are very generous & the jalea went crazy. Thank you for taking care of us Cabanas ! Highly recommended getting some of their affordable pitchers .Voir plus
A great place to go for honestly any meal of the day. My usual order is a papusa & platano con frijoles.Voir plus
The best pupusas I have eaten & I have tried alot.Voir plus
La bouffe hyper bonne pis le service incroyableVoir plus
C'est l'histoire de trois amis chrétiens qui avaient faim. Après le service du dimanche, le plus grand des trois demanda à ses deux compagnes : « Eh ! Qu'est-ce que vous voulez manger ? » La plus jeune haussa les épaules, alors que la plus mexicaine répondit : « N'importe quoi, tant qu'on y va mollo dans la dépense ». Le grand continua : « Bon, dans ce cas je vous propose de choisir entre du poulet portugais, de la pizza, un déjeuner traditionnel, un hambourgeois, des pupusas… »
« Des pupusas » entonnèrent ses deux camarades A. & K. à l'unisson, leur sourire brillant déjà d'anticipation.
R. tourna allègrement les clés de son carrosse : « Bouclez vos ceintures, les amies. Les merveilleuses pupusas de Cabanas nous attendent. »
Allez, hop ! Ils étaient partis !
Non, correction ! Allez, flop ! Ils étaient pris dans la neige ! Les chevaux-vapeur de la calèche galopaient dans le vide. R. enfonça dramatiquement ses lunettes soleil sur le nez : « Pas de panique. Je vais nous sortir de ce pétrin ». De fait, avec un parfait coup de rênes, les sabots de caoutchouc des bêtes mordirent enfin le bitume. « Vroooo ! » firent les chevaux qui s'élancèrent comme une volée de flèches.
Le trio de gourmands arriva en un rien de temps à destination, mais il était impossible de se garer devant le portail du restaurant sur la rue Bélanger. La troupe poursuivit son chemin sur Garnier où, R., de ses yeux perçants, dénicha un espace vacant où il lia la voiture à un poteau. « Bip bip », fit-elle une fois ses portes verrouillées.
La bande allait devoir continuer à pied, dans la gadoue hivernale : « Sploush ! Sploush ! Sploush ! », mais, entraînée par la force de l'estomac, elle ne mit qu'une minute pour se retrouver à nouveau devant le portail où un sinistre avis attendait les visiteurs : « PAIEMENT COMPTANT SEULEMENT ».
Le coeur de R. tressaillit : « Quoi ? Mais, je n'ai pas d'argent comptant, moi ! » Après toutes ces péripéties, allait-il falloir rebrousser chemin ?
« PAS QUESTION ! JE VEUX MES PUPUSAS ! » protesta, K. sa la grande tresse noire s'agitant comme un fouet d'indignation.
Ne pouvant résister aux yeux implorants de son amie, R. se résigna à utiliser l'instrument qu'il s'était juré d'éviter : le guichet automatique solitaire. Retirer 40 huards lui en coûta 3,75 oiseaux supplémentaires, mais les copieux délices qui allaient suivre justifieraient amplement ce sacrifice.
C'est ainsi que, dans la salle colorée du Cabanas, leur festin commença par deux pupusas (5 huards), ces galettes salvadoriennes dont la surface croustillante dissimulait un coeur fondant de fromage & de viande. Vint ensuite une arepa « mix » (13 oiseaux), son pain de maïs doré débordant de poulet tendre & de boeuf juteux, le tout environné d'une généreuse cascade de fromage fondu.
Les trois sopes de boeuf (22 oiseaux) révélèrent une véritable symphonie de saveurs : la viande mijotée se mariait parfaitement avec la fraîcheur des oignons & le piquant de la salsa. K., malgré les protestations de son estomac déjà bien rempli, ne put résister à un tamal de maïs avec crème (6 huards), retrouvant avec émotion les saveurs réconfortantes de son enfance.
Pour étancher la soif de leur voyage : trois verres d'eau cristalline & une horchata, douce, légère & désaltérante. Cependant, ce dont les deux accompagnatrices de R. se délectèrent le plus, ce furent les confidences de R. sur les nouveaux & surprenants développements romantiques dans la vie de ce dernier. On raconte qu'il aurait peut-être rencontré l'amour de sa vie en terres étrangères…
Le repas & les commérages cédèrent ensuite la place à la pratique badine de l'anglais de K. & de A sous la guidance de R. Le trio, béni par la bonne chère & l'amitié, plaisantait, s'esclaffait, s'affalait sur les chaises. Leur pèlerinage dominical au Cabanas s'achevait ainsi dans la joie & la bonne humeur, & déjà ils anticipaient leur prochaine aventure culinaire après le prochain service.
Qu'il est délicieux de se retrouver entre frères & soeurs autour d'une table !Voir plus